Cespedes et Miller veulent chasser Heidegger de la philosophie !
27 septembre 2019 11:08, par La nuque roideÀ l’internaute terrien au pseudonyme : « Rien ».
La chose est simple, dites vous. D’accord, je pars de votre postula : la chose est simple.
LA CHOSE EST SIMPLE : « Heidegger contre tout. D’abord contre le Christianisme pour qui la nature n’est rien d’autre qu’un moyen proprement technique en vue d’une rétribution lointaine. » Hé voilà, rien que ça me donne la nausée, mais pourquoi ? suis-je à ce point-là un crétin ? Un crétin accroché aux paroles de Jésus Christ comme un chewing-gum sur un pneu de Ferrari ? Oh misère de moi, quel con je suis, pauvre halluciné, j’ai fumé toutes les herbes de la forêt amazonienne ? L’incendie cet été : c’est moi, j’avoue, honte à moi ! Incarcérez-moi à la place de Dieudo et Soral ! STOP ! Trêve d’auto-flagellation à la con pour assumer la stupidité de mes frères humains. Ainsi donc, si Heidegger comme vous dites, s’en prend au christianisme sous prétexte que celui-ci considère la nature tel un moyen technique afin de recevoir une attribution lointaine, c’est que Heidegger n’a rien pigé au christianisme, et surtout pas aux paroles de Jésus Christ, lequel nous fait savoir que l’homme, la nature, l’univers, ne sont pas le produit du hasard, lequel hasard n’est rien d’autre qu’une masturbation intellect sinon la somme de notre ignorance, rien que pour mettre au point une pâquerette faut de l’intelligence vivifiée par une conscience, le hasard ne saurait mettre au point même un grain de sable ! Et ces 2 exemples sont au ras des pâquerettes ! Voyez-vous, « Rien », quand on cherche la vérité, on y va, entier et valeureux, on ne rebrousse pas chemin satisfait d’une cueillette superficielle au préjudice des paroles du Verbe fait chair, pour ensuite développer sa petite vérité, le monde est rempli de ces énergumènes qui assènent leur frères humains de leur soit-disant vérité, en ayant au préalable éjecté d’une chiquenaude les paroles de Dieu, intelligibles pour n’importe qui ! Alors donc, la « vérité » d’un grand philosophe, à ce qu’on dit, mais qui ne prend pas en compte les paroles de Jésus, n’est rien d’autre que la déjection de son égo, de son orgueil, de sa vanité, et qui voilà ? Encore le diable, chérubin porteur de la lumière Divine qui se prend pour Dieu, de se plier en 4 de rire, de se taper une bonne rigolade, de s’esclaffer l’esprit, pour avoir mis le doigt, comme à son habitude, sur cette suffisance des hommes si apte à se prendre pour Dieu, eux aussi.