Violences conjugales : les hommes aussi en sont victimes
2 octobre 2019 14:03, par avoineLa tortionnaire de Maxime Gaget était marocaine, vulgaire et ne fichait rien en France ; elle n’avait fait que procréer des enfants perturbés, elle s’attendait à se faire avoiner pour ses actes, mais rien.
C’est important de l’apprendre, car la culture ou la sous-culture sous-tend le comportement. Les femmes du Sud et surtout les Maghrébines et autres Africaines sont plus réactives et violentes physiquement que les autres. La femme noire africaine est d’ailleurs réputée avoir plus de testostérone et de muscle que la femme blanche, ce qui l’aide à mieux survivre en milieu hostile africain ou dans un rafiot sur l’océan.
Cette tortionnaire, qui a cumulé une violence génétique de pays sous-développé, dictatorial, et une autre de pays développé (chantage aux maltraitances sur enfant, menaces, drague d’autres hommes, protection assumée ou fantasmée de la justice et de la police) n’a écopé que de deux ans de prison, ce qui est très indulgent. Elle a en effet provoqué des séquelles et opérations importantes sur le nez, l’œil, le psychisme et la santé économique de l’homme battu. Elle a coûté cher à la sécu et à tous les Français.
Dieu merci, un homme marocain n’a pas supporté que d’autres hommes soient ainsi traités. Il mérite un grand merci.
Ces histoires nous apprennent aussi qu’il faut résister aux offenses. Toujours, même petites. Sinon, l’abus s’installe. Contre la violence psychologique : mettre les distances, définitives éventuellement ; et rester froid.
La France battue a ses photographes plus ou moins clandestins, elle attend l’ami de toujours qui l’aidera à se sortir de la maltraitance organisée.