Il est peut-être temps d’envisager les banlieues pour ce qu’elle sont, c’est à dire des enclaves autonomes sous emprise de la voyoucratie, du caïdat et de l’Islam radical. Des zones de non-droit qui ont fait sécession depuis longtemps et qui constituent désormais autant de métastases en passe de s’étendre à l’ensemble du territoire.
Il faut donc appliquer à ces zones, et à ceux qui en ont pris le contrôle, un traitement approprié si on veut éviter un embrasement généralisé du pays et garantir l’intégrité de la nation.
La population locale quant à elle, attend de voir comment évolue la situation avant de franchir le Rubicon et de venir grossir le rangs des moudjahidines. En attendant, elle offre soutien logistique et financier aux entreprises terroristes, aux grand banditisme et à la petite et moyenne délinquance, la frontière entre les trois étant poreuses.
Dans ces quartiers la guerre civile n’est pas un horizon potentiel c’est déjà devenue une réalité factuelle. Les attaques contre la France et les Français sont trop fréquentes et trop nombreuses depuis trop longtemps pour relever de la simple anecdote ou même du fait divers. Il s’agit bien d’un djihad low cost, d’un affrontement ethno-confessionnel de faible intensité qui attend le moment propice pour passer à la vitesse supérieur. L’ignorer, le nier ou même croire que l’État de droit et la démocratie pourront venir à bout de cette menace est illusoire, irresponsable et criminel.
La solution ? Traiter ces zones comme des zones de guerre en s’affranchissant des contraintes administratives, bureaucratique et démocratiques qui prévalent actuellement.
=>Une main tendue (la dernière) pour ceux qui veulent rejoindre le corps civique. En exigeant en contrepartie des droits et libertés afférentes à la citoyenneté, des actes forts, des preuves d’attachement réel et un positionnement clair en faveur de la patrie (collaboration et renseignements).
=>Pour tous les autres, le glaive et une justice expéditive (enlèvement, assassinats ciblés, déportation, internement, blocus économique).
L’heure n’est plus aux discours, aux analyses et aux atermoiements. Il faut frapper vite et fort et se montrer impitoyables avec nos ennemis.Quand cette menace sera traitée, nous aurons tout le loisir de nous occuper de ceux qui ont orchestré ce chaos pour leur plus grand profit.