Attentats : ces évidences qu’on n’ose plus dire
12 octobre 2019 18:03, par parameshhttps://www.rtl.fr/actu/justice-fai...
il est français de souche, vieux et de culture chrétienne, il a peté un plomb : on l’a abattu comme un chien alors qu’on aurait pu le gazer ou attendre qu’il s’endorme. les médias en font un forcené (et des forcenés abattus sans qu’on ne connaisse jamais la raison de leur pétage de plombs, il y en a un paquet quand on s’intéresse à ce sujet (chronique faits divers de la presse régionale)
Tout cela pour dire que quand on pète les plombs par rage par désespoir ou suite à une crise de démence (alcool drogue médicaments troubles psychiatriques) il y a la solution solitaire du suicide ou collective de la tuerie pour faire payer le ou les responsables.
Les musulmans visiblement préfèrent la deuxième solution (peut être parce qu’ils sont moins dévirilisés que les chrétiens de culture ou qu’ils ont moins la notion de pardon).
Parce qu’ il faut regarder les choses en face, l’immense majorité de nos attentats est le fait de pauvres types solitaires et dans un état mental plus que limite.
Le flic désespéré se flingue tout seul comme le paysan se pend tout aussi honteusement et tout le monde s’en fout ; Seuls certains "forcenés" démontent leur banquier, leur chef ou leur patron, l’huissier qui les saisit ou le personnel de l’hôtel des impôts, voir leur femme infidèle et son amant, voir toute la famille.
c’est une réflexion que je voulais soumettre à ceux qui exagèrent la dimension islamique de tous ces actes de folie car si tant de "musulmans" commettent ces actes de folie que nos médias qualifient immédiatement d’attentats terroristes c’est parce qu’on occulte les "forcenés" bien de chez nous, sans parler des suicidés qui eux ne sont même pas comptabilisés dans la rubrique pétage de plombs
Quant au couteau, c’est pas cher et ça se trouve partout,
ah si les musulmans étaient chasseurs de tradition ce serait certainement plus rock &roll.
On peut juste dire que le musulman désespéré, lui, a gardé un certain sens du spectacle pour orchestrer sa mort.