Patrice O’Neal : "Mesdames, comment rendre votre homme amoureux"
21 octobre 2019 02:24, par goy prideLes hommes d’aujourd’hui qui veulent des salopes au pieu cela me rappelle la fameuse phrase de Bossuet : "Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes." On ne peut pas exiger à la fois de sa femme qu’elle ait une sexualité débridée tout en restant fidèle. Dès lors où on "débloque" les digues naturelles qui tempèrent la sexualité féminine il faut tirer un trait à l’idéal de fidélité ! Tous les mois au moment de l’ovulation il y aura le risque que le plombier, facteur, livreur de pizza, de Fedex, entraîneur de fitness à la salle de muscu...passe en loucedé faire une petite visite à madame...
De plus ne pouvoir être sexuellement excité qui si la femme se comporte comme une professionnelle témoigne de l’effondrement de la virilité des hommes probablement consécutif à un mode de vie et autres facteurs environnementaux altérant la production de testostérone. Un homme sain et puissant n’a besoin de fioritures. Il appréciera certes de jolies sous-vêtements mais n’en a pas besoin, juste un petit plus appréciable. D’ailleurs l’excitation par la mise en situation est un truc très féminin (fantasmes, rituels) Dès lors où un homme a besoin d’une mise en situation pour pouvoir bander et tirer son coup (relations sexuelles dans des lieux insolites, petits scénarios à la film porno avec lingerie fine, godemiché...) c’est qu’il est carencé en testo. Un type viril même avec sa femme de 20 ans n’a pas besoin de plus de 5 minutes de préliminaires pour la chevaucher et la ramoner comme un infatigable piston. Si il est gentil pour faire bonne mesure il fera passer les préliminaires 10 minutes, donnera quelques petites gifles à sa femme si c’est le genre de truc qui peut l’exciter et basta...nos cousins québécois qui à la grande époque étaient capables d’avoir 15, 20...gosses avec la même femme il n’avait pas besoin de lingeries fines, ni de godes, ni de youporn... ! Le cocufiage existait certes mais pas dans des proportions que l’on a atteint aujourd’hui en particulier aux USA où ce phénomène est devenu quasiment un problème national (l’impossibilité de former des couples pérennes avec un environnement sain, sécurisant et stables aux enfants est une menace pour la société...)