Gender studies : un historien du genre fait son mea culpa
8 novembre 2019 16:52, par Charles
Je me suis toujours méfié des sciences non-dures qui laissent une trop grande part à la subjectivité des "chercheurs" grâce à l’absence de données et paramètres mesurables. Les avances dans le domaine de la biologie et, plus particulièrement, de la neurobiologie font tomber beaucoup de "croyances" établies par des militants en sciences sociales plutôt que de véritables scientifiques. Le gars de l’article en est un bon exemple. Récemment, les progrès dans la connaissance du cerveau font apparaître des différences matérielles et structurelles entre celui des hommes et des femmes qui n’ont rien à voir avec une quelconque "construction sociale" mais certainement avec la génétique et les fonctions hormonales. Les différences de capacités spécifiques et de comportement entre les genres ont donc une explication fondamentale qui est génétique et biologique n’en déplaise aux "chercheurs" SJW (Social Justice Warriors) qui sévissent encore dans les dîtes "sciences sociales". Comme disait le grand Charles : les faits sont têtus.
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