Jakubowicz se justifie : "Quand on est avocat, on ne refuse pas le dossier Lelandais"
12 novembre 2019 19:46, par culturovore"Lorsqu’on m’appelle pour prendre ce dossier,...." - C’est qui ce "on" ?
Voila ce que je lis dans tous les commentaires
Le ‘on’ ne peut être dans les faits que 2 personnes :
L’inculpé qui choisit son avocat.
Le ministère public qui le désigne.
En l’espèce il ne fait aucun doute que le « on » est le ministère public appelé aussi le parquet (les magistrats « debout ». Qui est l’autorité chargée de défendre l’intérêt de la collectivité et l’application de la loi devant les juridictions judiciaires. Le procureur général, le supérieur hiérarchique, a désigné un procureur de la république qui a probablement commis d’office Jaku. Car sinon seul Lelandais pouvait choisir Jaku. Ce qui veut dire juridiquement que jaku a été saisi, désigné, choisi par le procureur de la république. Mais si l’on se place sur le plan politique, le supérieur du procureur général étant le garde des sceaux (le ministre de la justice), cela peut être le ministre qui ait suggéré au procureur général le nom de Jaku. Mieux encore, Macron lui-même étant le supérieur du garde des sceaux il peut recommander Jaku. Enfin, les banquiers de la haute finance sataniste de l’état profond peuvent aussi fortement faire leurs recommandations à leur frère maçon Macron. Tout est envisageable. Jaku n’a pas pu se saisir de l’affaire. On lui a refile le bebe. Mais ne connaissant pas ses rapports avec Macron, on peut aussi imaginer qu’on lui file un cadeau empoisonné pour le décrédibiliser aux yeux du public sur une affaire terrible. Le crime de sang d’enfant tache tout le monde.
Jaku peut-il se dessaisir ? Oui, mais c’est très délicat et ne va pas du tout ni dans le sens de son métier ni de son intérêt personnel.