Moi j’ai tiqué sur le fait que le protagoniste avait un phrasé populaire de quartier... mais... comme les fils de bonnes familles moyennes.. de nos jours parlent eux aussi comme les gars des plus basses classes sociales ; ces classes inéduquées, classes laborieuses (ou plutôt souvent chômeuses oisives)...
Qui sait si il n’y a pas eu erreur sur la personne ? Peut être qu’il y avait sous la capuche un français de souche de classe moyenne ? Un punk à chiens sans les chiens, mais un peu enragé quand même avec ses aires patibulaires.
Même un Clint Eastwood dans un Dirty Harry qui n’est pourtant pas connus pour l’art de la nuance... arrive mieux à s’assurer bien définir qui sont les protagonistes méchants des gentils.
Car la description pour moi n’est pas tout à fait parlante. A la fois je ne l’ai pas vu.. mais j’en reste à la description donnée pour me faire mon opinion ?.... Des étudiants paumés (quelque part sous le seuil de pauvreté) correspondent un peu au jeune dans cette histoire ?
La justice dans le métro, en toute honnêté n’est certainement pas une vraie justice... mais il est vrai l’expression d’un ras-le-bol qui peut effectivement se comprendre, mais qui peut également faire trinquer le premier pélo (personnel délocalisé) ou le premier français mal coiffé.. sur un quiproquo ou une façon mal-habile de répondre aux gens ?...
Dédicaces aux « social justice Warriors » (je ne parle pas ici, de l’aile gauchiste qu’on connaît et reconnais, mais plutôt l’aile droitière qui s’ignore) ?
Alors tant qu’à faire une « Charles Bransonnerie »... car on a tous ça en nous... je crois qu’à certaines stations de métro y’a des vendeurs de cracks qui opèrent sans être gênés par la police. Je ne demande pas la création d’une milice pour autant ... la foule, c’est toujours trop dans le flou...
Un coup de poing dans la gueule d’un dealeur de poison... au moins vous l’avoueraient aisément, là y’a pas d’erreur judiciaire possible !!
Alors après le titre, poussif, de justicier dans le métro.. j’ai mâle imaginé un meilleur scénario ! Un Branson ou un Eastwood, c’est pas bien plus virile dans le texte ? La psychose urbaine rien de nouveau ?
Enfin, ça c’est mon avis. Mais je reste persuadé qu’il intéressera l’auteur de ces confidences entre amis...