Le cartel narco-socialiste : Morales, le Pape et le chaos en Bolivie
8 décembre 2019 12:26, par grille
"Donc pour résumer : la gauche sud-américaine (excepté peut être le Venezuela ?) est liée au sionisme de gauche (Soros) ; quant à la droite elle est liée au clan national-sioniste..." (lu plus haut).
Ce me semble être une bonne grille de:lecture des événements lationo-américains. La gauche, la droite sont des notions qui ont vécu ou ont été altérées en soros ou néo-con, les deux intrinsèquement liés, un peu comm séfarade/kazar, soviétisme et socialisme, libéralisme et tiers-mondisme, toutes proportions gardées.
Ces axes règnent et comptent sur l’ignorance, la bêtise, le désarmement, la tiers-mondisation, le malheur, la misère, la débauche des moeurs, l’absence de dieu et des anges ; s’en gavent. Plus la cible de leurs méfaits et crimes est divisée, démunie, mieux ils la tyrannisent et se remplissent les poches.
Alors à Morales succède une kazarophile, etc. Et rebelote.
Si la Bolivie a pour objectif premier de se cultiver l’esprit, les deux axes en rouilleront. Je sais, il faut des siècles pour qu’une civilisation fleurisse.
Le histoires de coca ne sont de toutes façons pas très claires. Faut arrêter la coca, cultiver des aliments.