Nous savons qu’en France, n’importe quel dégénéré de bobo, peut à titre individuel ou pour le compte d’une assoce pourrie, faire condamner, par la justice (de mes deux) un écrivain, un humoriste, un chroniqueur ou M. Soral, rien qu’en l’accusant, d’avoir dérapé...
Et il n’ y aurait apparemment personne, dans le paysage politique dit d’opposition, pour citer les faits reprochés au dévoyé Delevoye, devant le procureur de la raie Publique ? C’est bien joli, d’appeler à la démission du gaillard, dont on sait à quel point ça ne l’impressionne même pas.
Mais au RN (par exemple) premier parti d’opposition, au lieu d’appeler vainement à la démission du corrompu, ne pourrait-on mandater la... "fournée" d’avocats, que compte le parti, pour qu’ils lancent une citation en bonne et due forme, contre le haut-délinquant ? Qui, par sa prévarication, gruge plus ou moins les 26 millions d’électeurs du RN ?
La même remarque, valant bien évidemment, pour la France (très) Islamisée de Merluchon...