Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme
3 février 2020 21:26, par Robin THIEBAULT
Pour les étrangers du monde vidéo-ludique ce doit paraître indigeste, mais lorsque l’on saisit toutes les références c’est un vrai régal.
D’ailleurs, il est très rassurant de voir que bon nombre de jeunes du 18-25 ressentent instinctivement un dégoût pour le déferlement de merde actuelle, ce dernier étant d’ailleurs la cause de leur éventuelle addiction au virtuel.
Beaucoup ont une vraie sympathie pour le patron, ne leur manque plus qu’un peu d’Adrien Sajous avant de rejoindre les rangs de la dissidence.