Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

Voir aussi, sur E&R :

 






Alerter

17 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

  • #2379925
    Le 3 février 2020 à 20:44 par Arta
    Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

    Je pense que tous les joueurs actu et anciens de MMORPG ont bien du se fendre la gueule !!

     

    Répondre à ce message

  • #2379929
    Le 3 février 2020 à 20:47 par petithous
    Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

    Vin non des zios, z’avions rien compris !

     

    Répondre à ce message

  • #2379970
    Le 3 février 2020 à 21:26 par Robin THIEBAULT
    Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

    Pour les étrangers du monde vidéo-ludique ce doit paraître indigeste, mais lorsque l’on saisit toutes les références c’est un vrai régal.
    D’ailleurs, il est très rassurant de voir que bon nombre de jeunes du 18-25 ressentent instinctivement un dégoût pour le déferlement de merde actuelle, ce dernier étant d’ailleurs la cause de leur éventuelle addiction au virtuel.
    Beaucoup ont une vraie sympathie pour le patron, ne leur manque plus qu’un peu d’Adrien Sajous avant de rejoindre les rangs de la dissidence.

     

    Répondre à ce message

    • #2380152
      Le Février 2020 à 02:52 par icounil
      Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

      Personnellement, je ne considéré pas Adrien Sajous comme une référence.
      C’est seulement un rageux qui regrette d’avoir passé un peu trop de temps dans sa jeunesse à jouer à World of Warcraft. Sa connaissance du jeux video se limite à WOW et son analyse à la marchandisation, l’aliénation, le marxisme... On peut prendre tout ce qu’il dit et le poser sur n’importe quel autre média ou activité de loisir comme le cinéma, la littérature, la musique
      L’univers du jeux vidéo est riche et passionnant sur bien des aspects mais bon quand on ne regarde que du petit côté de la lorgnette forcément.
      J’invite les septique à faire une analyse thématique et symbolique des jeux de Kojima par exemple plutôt que de se référer à un ex ado frustré qui a passé des années à jouer sans jamais se poser la question du sens de ses actions.
      J’ai aussi passé pas mal de temps à jouer à WOW par le passé mais contrairement à lui, je sais pourquoi.

       
    • #2380283
      Le Février 2020 à 10:05 par Patrick
      Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

      À icounil.
      Pourquoi ?

       
    • #2380325
      Le Février 2020 à 11:27 par Robin THIEBAULT
      Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

      @icounil
      Ton raisonnement me semble malhonnête, car l’excellent Kojima est loin d’être représentatif de l’ensemble de la création vidéo-ludique, et la capacité d’analyse et d’introspection générale des joueurs est loin de celle de PADAWAMHD (car j’imagine que c’est à cela que tu fais référence).
      Donc je recommande à tout le monde de visionner les vidéos analytiques de ce dernier au sujet de la série des Silent Hill, si possible après avoir parcouru les jeux soi-même pour l’expérience psychologique de haute volée qu’ils représentent et leur qualité artistique indéniable (SH2 étant une œuvre d’une profondeur et d’une intelligence supérieure sur l’inconscient humain), mais si Adrien Sajous n’en parle pas c’est moins parce qu’il ignore leur existence que parce que le problème aujourd’hui ce sont plutôt les gamins qui dépensent 50€ pour des skins sur des jeux vides de sens comme Fortnite et qui passent des heures à s’entretuer sans raison en parcourant inlassablement les même maps.
      Et lorsque tu dis que son analyse marxiste du jeu-vidéo peut s’appliquer à d’autres domaines de la société du spectacle, c’est plus un aveu de sa validité qu’une critique sérieuse.
      Sajous est en réalité plus nuancé que ce que tu en dis, et dire que c’est un "frustré" ne suffit pas à démonter son analyse, tu sais très bien que c’est le même anathème qu’emploient les gauchistes au sujet de Soral.

       
    • #2380347
      Le Février 2020 à 11:48 par Vince Malum Bono
      Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

      C’est écrit plus haut : parce qu’on vit dans un monde de merde et que c’est le seul héritage auquel on a droit. Donc oui se défouler sur un jeu ben ça fait plaisir quand on en a plein les couilles de se faire emmerder. Et ça notre ami Adrien a oublié de le relever. Ça peut même donner des idées et donner des clés d’annalyse concernant ce monde de merde. Car non, un joueur de jeu vidéo n’est pas dupe, il sait pourquoi il joue, d’ailleurs c’est pour cela qu’il a abandonné la télé depuis longtemps : c’est du divertissement. Et en tant que tel, il sait ce qui importe dans la vie.
      Moralité : mieux vaut avoir à faire avec un « gamer » plutôt qu’à un « boomer »... car lui a compris qu’on le prenait pour un con !

       
    • #2380450
      Le Février 2020 à 14:01 par Tombster
      Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

      https://www.youtube.com/watch?v=R32...

      et regardez toutes les parties (4 ou 5 je crois).

       
    • #2380550
      Le Février 2020 à 16:04 par icounil
      Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

      Salut Patrick et Thiebault,
      A mes yeux la question du sens est centrale, à partir du moment ou on est plus capable de savoir pourquoi on fait quelque chose on devrait arrêter de le faire.
      De cette manière il n’y a pas de risque d’addiction y compris aux jeux vidéos.

      Pour ce qui est des raisons pour lesquels je joue aux jeux : il y a souvent une expérience unique à vivre qui, si l’on sait l’apprécier, peut être très agréable (paysage, musique, architecture, ambiance, conception des modes de jeux...).
      Pour passer des moments difficiles de sa vie pendant lesquels on a besoin de prendre du recul sans pour autant avoir la possibilité de bouger dans la réalité, un bon jeu (ou un bon livre) c’est toujours mieux que de se droguer ou de tomber dans des travers aux conséquences plus graves.
      Après il y a les questions d’ordre spirituelles. Qui sont ignorées par 99,999999% des joueurs.
      Existe-t-il un égrégore des jeux créé par la conscience de tous les joueurs qui y passent du temps ? Mon expérience me fais penser que oui, et ça explique surement en partie le niveau d’addiction parfois très fort chez les joueurs qui sans le savoir se relient à un univers aux implications bien plus profondes que ce qu’ils imaginent.
      Il y a bien d’autres raisons, mais je ne vais pas écrire un article ici, du reste ça intéresse assez peu de monde car malheureusement comme l’a fait remarqué Thiebault, les joueurs ont souvent un niveau de conscience assez limité.
      Faut-il mettre à la poubelle les jeux pour autant ?
      PS : quand je parle d’analyse des thèmes et des symbolique, je fais référence à ma propre expérience, je ne connais pas PADAWAMHD, mais le simple fait qu’aussi peu de gens soient capable de comprendre ce que représente le personnage de Quiet dans MGS 5 par exemple prouve que les neurones ne sont pas très actifs chez les joueurs et les critiques de jeu.
      Après quand je dis que Sajous est un frustré, il y a un peu de provocation de ma part, mais aussi une part de vérité. On sent bien qu’il a eu une mauvaise expérience avec les jeux video et que son travail découle de sa prise de conscience. Ce qui ne fais pas de lui la personne la plus objective pour aborder le sujet sereinement.

       
    • #2380925
      Le Février 2020 à 04:05 par Eugène
      Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

      Donc oui se défouler sur un jeu ben ça fait plaisir quand on en a plein les couilles de se faire emmerder.



      Donc quand le réel est trop dur, on se défoule dans du virtuel, c’est à dire on fantasme sur de l’inconséquent ?
      Et pourquoi pas tenter d’améliorer sa vie, se bouger le cul, changer de pays si la France vous fait gerber, produire des choses à contre courant si vous voulez rester en France...
      "À quoi bon ? Monde de merde"
      Aveu d’impuissance et résolution de défaitiste donc. On ne voit pas en quoi il faut y "admirer" ou même respecter un gamer.



      Ça peut même donner des idées et donner des clés d’annalyse concernant ce monde de merde.




      El famoso "Le jeu vidéo permet de redpill sur un tas de sujets".
      Mouais... Metal Gear s’est vendu à des millions d’exemplaires en France, des dizaines de millions dans le monde, j’attend encore de rencontrer un gamer qui en a tiré quelque chose de concret, soi disant sur la géopolitique mondiale pendant la guerre froide.

       
  • #2379980
    Le 3 février 2020 à 21:39 par compatriote
    Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

    Quatre minutes d’humour et second degré pour railler le féminisme.

    Attention tout de même aux visionneurs souffrants de troubles neuronaux de type épilepsie, TDHA, etc.. ça flash grave !

    Pour le débit, on peut encore activer l’option ralenti...

    Quant au narratif, pourquoi persister à intercaler quelques mots de français, faites tout en globish ce sera plus simple...

    Et même là, un parlé anglais classique non initié à la pseudo-communication des jeux vidéos ni comprendrait "que dalle" avec tous ces phonèmes de cyborgs...

    Ceci dit, peut-être en effet que ce type de vecteur de message peut influencer un segment de la population, la niche marketting des "gamers" : l’humour et la dérision passera toujours mieux que de longs, pompeux, peut clairs et saoûlants discours pseudo-politiciens.

    Car tout est bon et pressant pour contrer cette "11ème plaie d’Egypte", le LGBTQisme, le génocide des blancs occidentaux, autrement dit cette "chienlit chiappatesque" à conchier d’urgence !

     

    Répondre à ce message

    • #2383369
      Le Février 2020 à 03:23 par lio
      Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

      ...feraient mieux d’lire !..pas la peine d’avoir accès gratuit et sans bouger de chez soi à la plus grande bibliothèque jamais vue de mémoire d’homme.. !

       
  • #2380032
    Le 3 février 2020 à 22:46 par calal
    Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

    attention le porno comme les jeux videos ca peut etre de la sedation. C’est la dose qui fait le poison : un peu ca va beaucoup bonjour les degats. N’oubliez pas d’investir le reel aussi...

     

    Répondre à ce message

  • #2380322
    Le 4 février 2020 à 11:24 par nico
    Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

    Heureux de voir que la propagande ne marche pas sur tous les jeunes.

     

    Répondre à ce message

  • #2380530
    Le 4 février 2020 à 15:35 par Paul82
    Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

    Cette video est clairement destinée aux 15-25 ans. Moi qui est 37 ans, j’accroche pas.... Mais bon, tout est bon pour pilonner le féminisme.

     

    Répondre à ce message

  • #2380539
    Le 4 février 2020 à 15:49 par tatayoyo
    Si la vie était un jeu vidéo : le féminisme

    J’ai compris un mot sur deux dans cette vidéo ... c’est là que je vois que j’ai pris un bon coup de vieux !

     

    Répondre à ce message