Dans certaines régions en Afrique des hommes se nourrissent au sein de leur épouse
5 février 2020 02:59, par compatrioteComme aucune statistique fiable et qui ferait suffisamment consensus sur cette pratique, j’aurais plutôt tendance à la considérer, à priori, comme marginale.
Qui plus est l’Ouganda n’est pas un pays exempt de lobbies féministes... donc là encore méfiance.
Etant donc réduit à n’en parler quasiment que dans l’absolu, je pense :
1/ qu’il y a comme un "léger" défaut éducationnel, structurant et de "détabouisation" latent au sein d’une population... ;
2/ qu’un tel biais cognitif et comportemental, s’il devait s’étendre, en dirait long sur la qualité des individus mâles de ce pays... à fortiori si ces "têtards" sont des époux et pères de famille. Car à moins qu’ils se cachent complètement de leurs progénitures, ce qui m’étonnerait fort, quelle image renvoient-t-ils à leur entourage, dont les enfants qui sont sous leur responsabilité ? Il faudrait être bien naïf et ignorant pour croire que ces hommes peuvent exercer leur autorité. En effet, quand un enfant grandit avec une image du père aussi "maternelle", s’il n’y a pas un contexte compensateur et résilient, il risque d’avoir lui-même un manque d’équilibre mental.
3/ ces hommes abdiquent donc leur fonction familiale et sociale, par faiblesse, manque de structuration mentale ou vice. De la sorte, ils passent à coté non seulement de leur rôle mais aussi de leur état profond en phase avec les lois que prodigue l’ordre naturel ; à se laisser aller à de telles pratiques, ils se mettent donc ainsi en mode dysfonctionnel, porteur d’immaturité, d’inaptitude à se construire et se dimensionner en tant qu’Homme apte à porter, conduire et à protéger les siens, et ce au sein d’un pays qui n’a rien d’un eldorado (pour le moment...) ;
4/ que cette pratique, en psychologie comportementale, s’apparente intrinsèquement à une forme de cannibalisme, une sorte de vampirisation du corps de chair féminin (à l’instar de toute "sexualité digestive" ; les seins sont considérés par l’OMS comme une fonction sexuelle secondaire). En soi, c’est tout sauf anodin, même si de nos jours cela ne choquerait plus guère, vu l’abyssale perte de repères que le mondialisme déconstructeur et ensauvageant inflige implacablement aux peuples humains ;
5/ qu’on ne peut que craindre aussi un effet d’addiction, à ingurgiter de l’hormone de l’attachement (ocytocine), la bien nommée pour le coup... avec un "avantage" putatif pour leur femme : exit le mariage puisque fini les infidélités conjuguales ! - :)