La Suède tourmentée par les questions d’identité… de genre
21 février 2020 06:35, par SocradeIl n’y a rien de biologique ni même de sexuel dans ces pétages de plomb, il n’y a que du normatif, à savoir du Bien tel que le Christ l’a défini :
Les nordiques sont extrêmement normatifs, il y a une pression sociale énorme du Bien sur les individus, qui ne peuvent que s’écraser intérieurement ou se suicider. Personne ne peut définir le Bien, ça semble trop dur pour l’espèce, une poignée de types (Jésus, Bouddha, Confucius, Marx...) s’y sont essayé et se sont tous plantés.
Mais le besoin immense est là et au total le messie a emporté le morceau et le Bien c’est des derniers qui sont des premiers et le Mal c’est des premiers qui oppriment des derniers.
Normalement la pression maximum vient du Mal, en France et partout sur la planète ont vit tous sous esclavage de la terreur messique d’être des premiers (mâle blanc productif et reproductif) en position de maltraiter des estampillés "derniers" : juifs, femmes, LGBTx, immigrés, migrants, handicapés, etc.
Mais chez les nordiques la soumission au Bien étant beaucoup plus forte, ils y vont carrément et se transforment eux-mêmes en grands derniers, en "souffrants de genre" LGBTx pour être bien sûrs d’être du coté du Bien et obtenir ainsi une sensation d’existence normative dans un contexte où les normes naturelles ont été dévastées par l’inversion morale messique.
C’est ça la vraie dynamique toxique sous-jacente et elle n’a rien de biologique, c’est de la pure soumission inconsciente au Bien pour avoir la certitude d’être quelque chose dans un contexte de fin des temps.
Une question intéressante est de savoir pourquoi tout ça apparaît maintenant : ça vient du fait que la morale messique d’inversion des valeurs a déjà énormément ravagé, qu’on est au bout du rouleau : l’autorité dans les années 60, le peuple par l’immigration (immigrés=derniers), la pensée (censure, destruction sociale, dès qu’on critique des derniers et même prison s’il ça porte sur les ultra-derniers parce que génocidés par les ultra-premiers ariens) ce qui fait que maintenant elle s’attaque aux fondamentaux humains de la différenciation sexuelle.
L’humain est tenu au niveau biologique par le troupeau et par le sexuel, mais le troupeau écrase le sexuel. Le troupeau c’est la connerie et le sexuel l’intelligence et à ces monstrueuses manifestations de connerie humaine on voit que la Pensée, l’intelligence humaine ont perdu et qu’on est à la fin des temps, à la fin de l’Humain.