Juan Branco en deux étapes ? Facile...
Richard Descoings, qui lui confie la mission de prendre des photos pour alimenter son compte Facebook, ce qui lui attire le surnom de « gigolo du directeur »
En juin 2019, il dépose à la Cour pénale internationale une communication de 250 pages sur la politique migratoire européenne, accusant les dirigeants de l’Union européenne de crimes contre l’humanité. Révélé par un consortium de médias internationaux, le rapport affirme qu’une attaque systématique et généralisée a été menée contre des civils en mer Méditerranée et en Libye entre 2014 et 2019. Le jour même, selon le New York Times, la Commission européenne se justifie en affirmant avoir « rapidement compris son erreur en mettant fin à l’opération Mare Nostrum et [avoir] triplé sa capacité de sauvetage en 2015, contribuant ainsi à sauver 730 000 vies depuis cette année ». Les ministres français et espagnols des Affaires étrangères rejettent en bloc toute faute, tandis que Juan Branco et Omer Shatz, co-auteurs de l’enquête, affirment que leur enquête démontre les responsabilités pénales des dirigeants européens dans la mort d’au moins 14 000 personnes et la commission de crimes contre 40 000 autres victimes pendant la période concernée.
Je ne vois pas ce qu’il y a d’« anarchiste » à se prostituer... ce qu’il y a de « bourgeois », oui...