Une fille de 19 ans séquestrée, torturée et affamée pendant des mois par une famille entière
7 mars 2020 17:22, par Robespierre« Le poisson pourrit par la tête. »
Le haut du corps social a atteint un niveau très avancé de putréfaction. Nous savons tous combien les médias ont chanté les louanges du formidable DSK, l’homme de gauche du FMI. C’était il n’y a pas même dix ans. Nous avons profité durant cinq ans de François opération homo Hollande, le président « normal », l’ennemi de la finance, le protecteur de Léonarda, le garde-malade de Théo, le témoin impuissant d’attentats, et l’ami des charlistes, et de sa troupe comique : Taubira la harangère, Bécassine qui marchait pieds nus quand elle était enfant, El Khomri, Cahuzac les beaux yeux, Fabius le Syrien, Le Trembleur catalan.
Macron est une baudruche gonflée artificiellement, inexistante deux ans avant son élection — une sorte de « pute » selon Minc — qui nous gratifie d’un branleur au sens propre, d’une demeurée « féministe », sapio-excitée, qui écrit des bouquins pour expliquer qu’il est agréable de copuler avec des « rondes », et d’une ribambelle de parasites et de sangsues. Des gens qui sont quelque chose alors que nous ne sommes rien, avec nos clopes et nos diesels, attendant que ruisselle le pognon de dingue que les premiers de cordée dépensent en se saignant aux quatre veines pour nous, les ratés, les illettrés, les pue-la-sueur réfractaires. Merde ! nous ne savons même pas apprécier le homard à la de Rugy et nous nous plaignons d’être fracassés par les cognes... Quelle impudence ! Il faut dire que nous sommes assez cons pour croire qu’un mégot a foutu le feu à Notre-Dame de Paris.
Il est inévitable que la pourriture néo-libérale, qui autorise tous les appétits, qui price tout, qui transforme tout en marchandise, gagne le bas du corps, obèse n’en déplaise aux lutteurs contre la « grossophobie », en décomposition. C’est presque comique d’attendre le retour dialectique de la manivelle qui châtiera des palanquées de profiteurs. Bad karma pour les puissants, à force de dépasser la juste mesure des têtes sautent et des dents volent.