Un coach en séduction parle de Sociologie du dragueur
13 mars 2020 17:52, par FREDERIQUEFR@Sedetiam
De "Tu ne vas plus savoir où tu habites".
Si la subtilité des termes de ce texte doublée de l’indéniable sensualité d’un Manara ne peuvent effectivement que mener l’objet de la conquête à percevoir cette phrase prometteuse - sans même qu’elle soit prononcée... - tout en prenant subtilement conscience de "l’altitude enregistrée par Gogole" (LOL), je ne suis pas très sûre qu’un petit oisillon tout juste tombé du nid et s’essayant à la drague/ possession - même momentanée - dudit objet, soit à même de faire passer ce genre de message, qui ne peut être que le fait de l’expérience et/ou du vécu.
De "Qu’est-ce que tu vas m’apporter de mieux que ma complète sérénité et ma totale liberté ?"
Il me semble logique que les oiselles d’aujourd’hui - qui se veulent plutôt oiseaux de proie - à la recherche du Prince Charmant - quoi qu’elles en disent - lequel se doit d’être à la fois mâle protecteur et carpette devant se plier à toutes leurs exigences les plus absurdes et leurs injonctions les plus contradictoires, ne puissent pas répondre à ce genre de question, dont youporn, tinder et autres speed datings - les "toujours plus vite" de cette société de consommation à outrance - les éloignent irrémédiablement.
Pourtant, en se posant un instant, elles pourraient répondre par "Un subtil mais indéniable petit plus à ta complète sérénité et à ta totale liberté faisant écho aux miennes"...
Mais encore faudrait-il pour cela qu’elles cessent de chercher fébrilement et avidement le définitif programmé d’avance - l’injonction du "se caser" - chose bien difficile pour qui ne cultive que le nombre de ses likes, le "regardez-moi" photoshopé, et n’a que peu de vécu, quand elles ne font pas partie des harpies féministes, ce qui relève alors de la quadrature du cercle.
Les uns comme les autres ne sont donc pas sortis de l’auberge, d’autant moins que tout est fait pour les abrutir et les tirer vers le bas, pauvres gibiers totalement et irrémédiablement inconscients des buts mercantiles de ceux qui ne voient en eux - et plus que jamais - rien de plus que "du temps de cerveau disponible"...
Quant aux histoires de voyelles, et autres madame Michu, LOL, et quelle plume, toucher(é) le ciel !