Virginie Vota – Banlieues : pourquoi l’État n’agit pas
29 avril 2020 09:10, par Adolfo StaliniLes gauchistes factophobiques et les femmes laides qui voient dans l’immigration de mâles jeunes et en bonne santé une opportunité de sortir de leur isolement sexuel sont certes favorables à l’immigration. Le patronat a été favorable à l’immigration dans les années 60, quand il y avait pénurie de main-d’œuvre, les socialistes y ont vu un gisement de voix, mais l’Etat profond, qui décide de tout, poursuit un autre agenda. La meilleure preuve en est que cette politique immigrationniste est poursuivie dans tout l’Occident. Le simple fait qu’on accepte prioritairement l’immigration non qualifiée et qu’on freine l’immigration qualifiée prouve qu’en réalité, on souhaite une immigration à problèmes. Quel intérêt pour l’Etat profond de favoriser une submersion de l’Occident par des hordes de bandits du désert ? Réponse : faire flamber les sentiments racistes, mettre en danger la population autochtone, de telle sorte qu’elle accepte une forme de dictature biologique visant à améliorer artificiellement le pool génétique des populations occidentales, par exemple en imposant le clonage reproductif de masse dès que la technique sera bien maîtrisée. En effet, l’Etat profond s’est rendu compte que l’immense majorité des gens ne sont pas suffisamment équipés intellectuellement pour vivre en harmonie avec l’Intelligence Artificielle. Le risque étant alors que l’IA remplace progressivement une humanité intellectuellement déficiente. Nous voyons donc que l’Etat profond agit au mieux de l’intérêt supérieur de l’humanité. L’Etat profond poursuit un objectif fondamental : l’amélioration de la génétique humaine de façon à permettre à l’homme d’atteindre un QI indispensable à la maîtrise de l’IA. La seule façon pour l’homme de maîtriser l’IA repose sur sa capacité à fusionner les intelligences individuelles en une intelligence collective, chose très laborieuse actuellement en raison de la faiblesse de l’intelligence humaine individuelle, faiblesse qui interdit aux hommes de partager en confiance leurs expériences personnelles au niveau collectif. En effet, l’humain n’a pas vraiment confiance dans le jugement ou le témoignage d’autrui, non parce qu’il doute de sa sincérité de son témoignage ou de son analyse, mais parce qu’il doutent de la validité de l’expérience extérieure à lui-même sauf si elle provient d’une autorité ou du grand nombre, ce qui réduit l’aptitude de l’homme à enrichir sa propre expérience de celle d’autrui.