Si le droit protège éventuellement ceux qui auraient causé involontairement un dommage, du moment qu’ils ont accompli les diligences normales, est-ce le cas des actes volontaires :
classement de la chloroquine comme substance vénéneuse, ce qui peut être grave s’il est prouvé que le gouvernement avait connaissance auparavant 1) de cette épidémie, 2) de l’efficacité de ce traitement
injonction de laisser les malades peu atteints chez eux avec du Paracétamol (= sans traitement alors qu’en cas de grippe les médecins prescrivent des antobiotiques)
actes qui ont provoqué/aggravé la pénurie de masques
prescription de Rivotril aux personnes âgées alors que la première contre indication est "insuffisance respiratoire grave"
interdiction de prescrire de l’hydroxychloroquine hors de cas très limités.
Combien de temps allons-nous rester entravés pour éviter à nos gouvernants la reddition des comptes ?