En banlieue lyonnaise, on ne s’étonne plus du vote frontiste
28 mars 2011 00:36, par Panini bolognaiseQue "au pain pourri et à l’eau croupie" se rassure, le front National n’a pas accompli - en dépit de la politique sociale et économique désastreuse qui gangrène notre pays de manière drastique - la révolution des urnes que le pays aurait méritée de connaitre !
Je rejoins les propose de Jean-Marie Le Pen qui - au cours des avant-dernière élections présidentielles - pensait que ces compatriotes avaient suffisamment manger de leur pain noir pour appeler un remodelage complet du paysage politique français, en élisant sa personne. De toute évidence, ce dernier avait tort. Les français - dans leurs vaste majorité - n’ont pas encore suffisamment touché le fond du panier, pour pouvoir réagir de manière virulente !
Eh, oui ! Il n’est pas du tout évident de modifier la vision erronée des moutons-électeurs qui sévit encore dans notre pays ! Surtout qu’en face, les moyens de propagande utilisés pour crédibiliser le parti national possèdent une telle puissance de persuasion et de lobotomisation des consciences, qu’ils feraient pâlir d’envie le meilleur roman abordant le thème de la dystopie.
A se demander, si les événements vont - un jour - réellement évoluer en France ! Le peuple gaulois, dans sa majorité, n’est décidément pas prêt à opter pour un changement radical de politique ! La cause évidente : sa pusillanimité légendaire !
Bon peuple de Françe : continuez à consommer bêtement et frénétiquement comme de stupides machines consuméristes, ingurgitez des programmes télévisuels abrutissants qui liquéfient votre esprit et annihilent toutes notions de réflexions et de prise de conscience, continuez à "réfléchir avec votre cœur (vive les bienfaits de "l’intelligence émotionnelle" pour palier à celle, intellectuelle et neuronale) et bon courage pour la suite des événements, qui n’augure en rien des "lendemains qui chantent ! ".
Après plus de trois décennies de vilenies socialisantes - dont les dirigeants n’ont fait que trahir les idéaux des classes sociales qu’ils sont censés pourtant défendre - les "petites gens" continuent de leur donner un blanc-seing politique, puisque ces derniers raflent de nombreux cantons. Si les gogos s’imaginent encore que l’alliance de gauche - aussi large et bigarrée soit-elle - peut encore résoudre leur problème, ils se mettent le doigt dans l’œil !
Pour paraphraser le philosophe cynique Diogène : "Esclave, c’est est une mentalité, ce n’est pas un état de fait !". A bon entendeur, Salut !