Franc-maçonnerie et féminisme institutionnel : le cas GLFF
22 juin 2020 15:55, par dixi
Moi je regrette, mais des personnes qui se réunissent dans une espèce de club privé comme la franc-maçonnerie qui désigne un ensemble d’espaces de sociabilité sélectif, dont le recrutement des membres est fait par cooptation et pratique des rites initiatiques se référant à un secret maçonnique et à "l’art de bâtir" ( bâtir ? ou plutôt détruire ).
À partir du moment où cela s’applique à un secret, c’est du complotisme maçonnique . .Puisque personne n’est invité, sachant que c’est un espace de sociabilité sélectif. Ces gens-là parlent au nom de qui est de quoi ?