Masques obligatoires dans les lieux publics clos : quel air respirerez-vous ?
24 juillet 2020 22:33, par Mille sabords !ceux qui veulent du concret, du scientifique, du randomisé sur l’inutilité des masques (meme le PPF2), dans les maladies virales peuvent se tourner vers les articles originaux en anglais (et traduit en francais sur le site sott.net)...
les premieres etudes ont eu lieu en 2008, et les publications en 2010, donc ca ne date pas d’hier et ca permet de prouver l’escroquerie du masque (encore faut il que le mougeon veuille bien lire le texte, ce qui est peu probable puisque ca remettrait enc ause ses croyances), mais en cas de PV pour refus d ele porter vous aurez des arguments serieux a valider aupres du tribunal :
l’article original est ecrit en anglais par le professeur Denis Rancourt :
https://fr.sott.net/article/35687-L...
il parle de l’etude de Shaman (2010) qui explique que ce qui propage le virus c’est plus l’air sec que l’air humide qui fait tomber les goutelettes virales par gravité,
Lowen et ses collègues (2007) ont démontré le phénomène de virulence des virus aériens dépendant de l’humidité dans la transmission réelle de maladies entre cobayes, et ont examiné les mécanismes sous-jacents potentiels de l’effet de contrôle mesuré de l’humidité.
"Le mécanisme sous-jacent est que les particules ou gouttelettes d’aérosol chargées d’agents pathogènes sont neutralisées au cours d’une demi-vie qui diminue de manière monotone et significative avec l’augmentation de l’humidité ambiante. Ce mécanisme est basé sur les travaux fondateurs de Harper (1961). Harper a montré expérimentalement que les gouttelettes porteuses de virus et d’agents pathogènes étaient inactivées dans des délais de plus en plus courts, à mesure que l’humidité ambiante augmentait."
La percée réalisée par Shaman et al. n’est pas seulement un point académique. Elle a plutôt de profondes implications en matière de politique de santé, qui ont été entièrement ignorées ou négligées dans la pandémie actuelle de coronavirus.
En particulier, le travail de Shaman implique nécessairement que, plutôt que d’être un nombre fixe (dépendant uniquement de la structure spatio-temporelle des interactions sociales dans une population totalement sensible, et de la souche virale), le nombre de reproduction de base de l’épidémie (R0) est fortement ou principalement dépendant de l’humidité absolue ambiante."