Témoignage d’un jeune homme intelligent contre le masque
2 septembre 2020 12:14, par Daniel« Suite 3 » : Or vous n’êtes pas sans savoir combien nos fruits, nos légumes et les sols qui les font naître ont actuellement une piètre qualité ! Les sols traités aux pesticides ne contiennent plus de lombrics. La terre s’en trouve appauvrie et elle offre des fruits qui le sont tout autant. En France, on estime ainsi qu’il y a 264 vers par mètre carré qui passent leur temps à enrichir la terre en ingérant les matières organiques et en les digérant avant de les recracher. L’inquiétant, c’est surtout qu’il y a environ quatre fois moins de vers qu’il y a quarante ans dans les grandes cultures à cause de l’action de l’homme. C’est bien le signe que nos sols sont dégradés. En effet, le sol appauvri en matériaux biologiques et moins aéré par les galeries des petits invertébrés, il ne retient plus l’eau, la terre est de moins en moins fertile. L’apport minéral
qu’offrent les aliments s’est ainsi dégradé en quantité et en qualité.
L’organisme humain ne peut pas former de sels minéraux lui-même. C’est par l’alimentation qu’ils parviennent dans le corps. Comme le rein élimine quotidiennement les minéraux, notre alimentation doit en apporter chaque jour des quantités suffisantes. La dégringolade des éléments nutritifs au sein de nos aliments nous entraine irrémédiablement dans sa chute. L’homme est inévitablement lié à la qualité de son biotope.
L’espèce humaine a l’illusion qu’elle peut être autonome et indépendante des systèmes vivants, pourtant depuis le début de la vie aucune espèce ne se suffit à elle même.
Un corps de 70kg comme le mien, c’est prêt de 7 grammes de sels minéraux. D’après mes recherches nos grands parents en avaient plus de 12. Et suite à de récents travaux en archéologie, j’ai appris que des communautés à l’hygiène de vie irréprochable comme les cathares en détenaient prêt de 25g.
Il s’agit donc d’une transhumance silencieuse, d’une éclipse discrète dans laquelle s’engouffre l’espèce humaine. Un état de carences et de pauvreté en inflation constante et totalement inédite.
Avoir de l’embonpoint ne signifie en rien que l’on ne subit pas une forte carence. La forme, la rondeur et la notion de satiété n’ont malheureusement rien à voir avec nos besoins physiologiques. Aucune cellule ne crie combien elle a faim !