Plainte contre Raoult : le débat Florian Philippot-Laurent Alexandre
6 septembre 2020 10:59, par julotL’inénarrable intelligence artificielle de Laurent Alexandre commence à se lire sur son visage buriné par les contradictions internes de plus en plus difficile à cacher, contre le discours honnête et des arguments vérifiable d’un Floriant Philippot.
Tous les arguments des sociétés savantes ont été démentis par les résultats statistiques (officiels) et font même consensus au sein des infectiologues faisant de la véritable science (recherche, observation, conclusion) et non de la prospective méta-analytique souvent biaisé.
Laurent Alexandre en bon VRP de l’IA n’a d’ailleurs pas le moindre argument scientifique solide en dehors des fameuses méta-analyse démontrant tout et son contraire en fonction de la méthodologie, du choix des données, ainsi que des qualifications ou des liens d’intérêts des auteurs dont on cite rarement les noms.
C’est comme ce genre de débat ne valant pas grand chose au regard de l’éthique médicale car opposant deux acteurs illégitime, l’un étant un obscur médecin de formation dont on peut se demander s’il a exercé véritablement un jour et un Floriant Philippot, président d’un parti inexistant (ayant le mérite d’exister) dont l’opinion est sollicité précisément pour faire passer les arguments pourtant vérifiable et démontrable comme minoritaire chez les spécialistes de la question et donc donner l’illusion qu’il n’existe pas de consensus scientifique au sujet de cette pandémie.
D’ailleurs ou sont les conflits d’intérêts de Laurent Alexandre, certes par directement avec les labos de recherche virologique mais indirecte, notamment via DNAVision, une société belge de séquençage d’ADN, ainsi que ses actions détenues auprès de sociétés exerçant essentiellement dans les technologies NBIC.
Ce n’est pas comme si ce personnage n’était pas attaquable, ne serait ce que par les qualifications du monsieur (source Wiki) qui n’a exercé la médecine en tant qu’interne des hôpitaux de Paris en chirurgie urologique ayant obtenu le simple diplôme de docteur en médecine de l’université Paris-VI (1991) ne conférant, cependant, pas le grade universitaire de docteur réservé aux titulaires d’un doctorat de recherche et encore moins du titre auto-proclamé de chirurgien.
En outre il aura effectué en même temps le programme MBA d’HEC (programme appelé ISA à l’époque) pour se former au management d’entreprise sur le campus de Jouy-en-Josas et intègre ensuite l’ENA (1992-1994).
Bref sa parole ne vaut rien au regard du pédigrée d’un Raoult ou d’un Peronne.