Dupond-Moretti : "La France c’est pas un coupe-gorge"
7 septembre 2020 18:23, par Alice Portalla constitution du pays en première mouture de 1958 parle d’un peuple républicain sans factions, c’est-à-dire sans sous-ensembles. Or il s’agit de la communauté musulmane, qui appartient au super ensemble de la Oumma mondiale, ayant vocation à absorber le reste de l’humanité ou à le soumettre dans une dhimmitude. Le principe idéal républicain d’un peuple théorique lui-même regroupe des peuples, et compose un ensemble humain rassemblé sur un territoire par les hasards de l’histoire, agrégé autour d’une communauté historique originelle, par les effets du droit dit du sol dont l’histoire intéressante serait à faire, et dont certaines composantes peu capables de s’organiser politiquement tout en appartenant au super ensemble prosélyte de l’Oumma sont de fait organisées et financées par des composantes d’un petit sous ensemble bien organisé. La seule solution pour faire cesser la continuelle pression imposée au peuple originel entre l’enclume de Sion et le marteau d’Ismaël consiste à se débarrasser de la fiction du peuple républicain, c’est-à-dire à revenir au droit du sang, et à renégocier un concordat, afin de rétablir une situation telle qu’elle a pu dans notre pays exister avant la loi de 1905, en aménageant les libertés de culte, mais aussi en séparant clairement celui qui reçoit de celui qui est reçu, car en effet on ne peut unir que ce qui est au préalable clairement séparé, et que continuer ainsi à donner au peuple républicain le nom du peuple de France, c’est aujourd’hui, force est de le constater, donner le droit au meurtrier de porter l’identité et le vêtement de sa victime.