Trump en meeting : "Je me sens puissant, je peux embrasser n’importe qui"
13 octobre 2020 21:56, par Sigebert
La conclusion misérable de ce mandat théâtral et passif du président américain est une grande leçon de vie, celle que nous donnent Ryssen et Soral : l’optimisme est un péché, on ne voit jamais les choses avec assez de noirceur... le monde est toujours plus laid qu’on le croit et ceux qui le possèdent ont toujours un degré d’avance sur les autres dans l’horreur.
Le moment où Trump parle de faire des bisous à tout le monde est le moment précis où il renonce au pouvoir. Si encore en coulisse, des dizaines de cadres du Deep State mourraient de crise cardiaque, à la stalinienne, mais non, c’est au premier degré, c’est juste l’expression irrépressible de son impuissance politique.