Je n’ai plus la télé depuis 5 ans, ne la regarde pas sur Internet, mais je reste nostalgique des films du panthéon français 3 ou 4 soirs sur 7, des programmes qui unissent et rapprochent les gens, et de l’absence des divertissements abêtissants en ouverture de soirée ou en prime time.
Les gens nés après 1980 ne peuvent pas se représenter ce qu’a pu être la télé (qui restait de la télé : un tueur de lien social), contrôlée de A à Z mais non pensée pour être un outil toxique.
Mais nous sommes en France, XXIe siècle.
Delphine Ernotte fera payer aux gens dont elle devrait prendre soin - la nation -, et jusqu’à la fin de sa vie, son ascension sociale non pas mort-née mais seulement ralentie dans une société où le pouvoir est effectivement masculin.
Les minorités ne sont qu’un prétexte. Et la vengeance d’une femme peut se déguster sur des décennies.
C’est pas bien de psychologiser, je sais - mais des fois, ça fait gagner du temps.
Merci Dédé ; la prochaine fois, deviens agent d’entretien, tu emmerderas moins de monde à la tête de ta société de services.