Covid-19 – Preuves de fraude mondiale
29 décembre 2020 17:26, par StéphaneUn article très intéressant qui ouvre à de nombreux sujets polémiques.
D’une part (à mon sens) il y a querelle sur la définition à employer à propos de "bactéries" et de "virus", dans l’avenir comment notre compréhension du monde du vivant, du corps, du microscopique pourra-t-elle continuer avec des observations puis des commentaires qui, suivant les cas, arrivent à se contredire les unes et les autres. Il y a à cet endroit matière a de passionants débats scientifiques(sans le mainstream de trahison).
Pour l’exemple, de nombreuses pointures dans leurs domaines, dont il me semble que l’on peut leur faire crédit de l’honnêteté (sur leur travail et pas de corruption des labos) ce qui est le cas de Raoult, Perronne, Montagnier, Fourtillan, Tal Schaller...., je constate que ces spécialistes ne sont pas d’accord entre eux, parfois leurs avis sont complémentaires et à d’autres endroits divergents. Présence ou non du virus, viabilité des tests, modèle pasteurien, modèle de Beschamps (microzyma), modèle de somatisation des maladies..... A l’instar de l’astrophysique, la non concordance des modèles théoriques, des observations et des corrélations indiquent pour ma part que les modèles théoriques doivent être sérieusement retravaillés.
Ce qui est frappant, c’est qu’avec le narratif imposé du "système" nous ne possédons pas notre histoire ( il y a bien sûr certaines séquences d’évènements qui sont prouvables) et retracer les évènements sur un plan historique afin d’identifier les séquences des évènements "covid", est difficile à conceptualiser. En l’absence des éléments véritables de notre histoire, fût elle récente pour le cas covid, nous ne pouvons dès lors concevoir collectivement des thèses plus adaptées afin d’étendre notre compréhension, source de solutions et d’apaisement. La toute première base de réflexion.
Pour les tests pcr, il y a trop d’éléments factuels aujourd’hui pour affirmer qu’ils soient fiables.
Pour la partie "Y a t il un virus". Il me semble là aussi que le doute est source de questionnement et chez mainstream les insultes fusent, toute référence à cette question est considérée en tant que négationnisme du virus. Il y a bien un "quelque chose" et la domination de l’élite en France est de faire passer cet invisible à l’oeil nu comme le mal absolu. Nous pouvons être certain que ce qu’il y a n’est pas très important en comparaison aux autres catastrophes de l’humanité. La peur de l’inconnu est une vieille ficelle pour manipuler tant de personnes.