Jacques Attali met en garde : Vite, un gouvernement mondial, sinon ce sera le retour de la barbarie
20 avril 2011 13:41, par Charles CordayL’ultime outil de leur subversion c’est la "démocratie".
"La politique est un mécanisme qui sert à empêcher les gens de prendre part à ce qui les concerne directement."
Paul Valéry
C’est très vendeur comme principe, plein d’idéalisme, mais aussi puissant que fallacieux.
Car dans une société qui fabrique des ignorants, comment un tel système idéal pourrait-il être applicable scrupuleusement ?
"Nous disons aux gens ce qu’ils ont besoin de savoir, pas ce qu’ils veulent savoir."
Frank Sesno, vice-président du réseau CNN News
"L’éducation est un système d’ignorance imposée."
"Des centaines de milliards de dollars sont dépensés chaque année pour contrôler l’opinion public."
Noam Chomsky, professeur et auteur américain
Pour qu’il soit effectif, il faudrait que chaque citoyens soient conscient de ce qui fait tourner le monde. Or, la société fabrique des moutons afin que cette masse soit contrôlable par des castes élitistes de technocrates qui nous enfumes à leur aise.
Leur machine de guerre est le principe du "Césarisme Démocratique".
C’est une Dictature, sous couvert d’illusoires participations de la plèbe dans la politique.
C’est grâce à ça qu’ils feront accepter leur Empire aux esclaves de demain, à travers un paravent tout beau tout rose... idéaliste et donc éloigné de la réalité.
Et si cela échoue, alors ils emploieront la manière forte... une fuite en avant pour un quitte ou double.
"Nous aurons un gouvernement mondial que nous l’aimions ou pas. La question est seulement si nous l’aurons par consentement ou par conquête."
James Warburg
En conclusion, je hais la démocratie pour son principe plein d’idéalisme délétère, qui part sa faiblesse, laisse constamment une porte ouvert à la Tyrannie.
Je pense donc que seul un système ayant une autorité Scientiste, c’est à dire un parlement d’experts compétents et désintéressés, et non de technocrates véreux, pourrait être la solution idéale pour vivre ensemble, en harmonie avec le monde, avec notre mère nature, et avec nous même en abolissant d’abord la propriété privée, source de conquête.