Et maintenant, le confinement à titre préventif
29 janvier 2021 22:12, par pleinouest35BASTA CUSI !
Ainsi chaque jour sont annoncés par la Presse mainstream des chiffres de contamination qui, parce qu’ils correspondent surtout à des faux positifs, ne témoignent d’aucune réalité pandémique, et le nombre de décès de personnes qui, selon le CDC, souffraient à 94 % de comorbidité, et dont il est plus raisonnable de croire à leur âge très avancé qu’ils sont morts de pathologies diverses, comme le cancer et les maladies cardiaques. La population est en partie carencée en vitamine D3 et en Zinc, or des études concluent que la moitié des victimes auraient pu survivre, mais le langage officiel est un simple déni médical.
Ainsi, si l’on prend seulement en considération dans les statistiques le phénomène du papy-boomer, l’âge moyen de 84 ans dépassant l’espérance de vie, la comorbidité très importante, les faux positifs majoritaires des tests PRC qui inventent des personnes malades, la mutation du virus provoquée par le Remdesivir vanté par Karine Lacombe et sa Légion d’honneur, il semble certain que cette « pandémie » ne doit plus être comparée à une féroce grippe, mais à une banale grippe. Si alors nous prenons en compte les études qui rapportent que l’administration de la vitamine D3, du Zinc (associé à l’Hydroxychloroquine qui l’introduit dans le virus) et de la vitamine C divisent par deux le nombre de contaminés et de morts, nous pouvons déjà dans un premier temps estimer que cette maladie est en réalité moins mortelle que la grippe saisonnière. Dans un second temps il faudra se pencher sur les morts par manque de soins et de dépistage des autres maladies (cancer, cœur, diabète), et sur les conséquences sur l’immunité naturelle de la diffusion incessante de stress et de la sédentarité forcée. Je pense que cette « pandémie » est uniquement politique, si ce n’est que l’étrange pic survenu au début de 2020 fait penser à la fabrication en laboratoire d’un virus, comme le décrivent différemment Luc Montagnier et Jean-Bernard Fourtillan qui martèle que l’Institut Pasteur l’a produit en 2003.
Pourtant la population consomme en immense majorité les produits alimentaires frelatés qui sont vendus en grandes surfaces, elle souffre donc de surpoids ou d’obésité, comme les enfants britanniques. Écoutons Didier Raoult à ce propos : « On vit dans des sociétés d’obèses, les obèses sont particulièrement sensibles à cette maladie (…) Le vrai point de lutte c’est contre l’obésité ».