A Buffalo (NY), un juge ordonne à l’hôpital de fournir de l’ivermectine
1er avril 2021 09:01, par pleinouest35Pour le prix Nobel de médecine 2015, Satoshi Omura, qui clame que les macrolides soignent la Covid, faire interdire l’Ivermectine, c’est s’opposer à la pénicilline au moment de sa découverte. Pour Flavia Groșan, pneumologue roumaine, c’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades, elle a donc choisi de traiter de façon traditionnelle les patients atteints de pneumonie, et 100% de ces derniers seraient guéris, sans prise en charge hospitalière. Pour le docteur Geert Vanden Bossche, les statistiques suggèrent que les vaccinations sont le vecteur du virus Corona, selon lui les campagnes de vaccination conduisent ce virus à devenir progressivement un monstre. Me Carlo Brusa révèle la supercherie de la Covid avec l’évidence des liens d’intérêts, le vice-président de Pfizer nous dit : « Je suis bien conscient des crimes contre l’Humanité perpétrés à l’échelle globale contre une vaste proportion de la population mondiale. Je ressens une grande peur, mais cela ne m’empêche pas de donner mon témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne. Je n’ai absolument aucun doute quant au fait que nous sommes en présence de produits à la fois maléfiques et dangereux ».
Les morts de la Covid représentent 4 mm sur une hauteur de 8 mètres, il ne s’agit donc aucunement d’une pandémie dans le sens de la gravité. Une pandémie n’est pas combattue avec des confinements ou des masques en papier, ni avec des tests PCR à 50 cycles donnant une majorité de faux positifs, ces derniers servent donc à justifier des mesures sociétales coercitives, ils permettent, avec les chiffres biaisés, de maintenir une peur génératrice d’obéissance, mais ils coûtent à la France, selon Martine Wonner, 120 millions d’euros par semaine, somme considérable très utile à la diffusion de la peur sur les médias de grande audience, mais qui aurait dû être utilisée pour augmenter le nombre de lits de réanimation au lieu d’en supprimer, or il se trouve que c’est justement la saturation qui est le prétexte du confinement, par voie de conséquence de la vaccination.