La permaculture : une critique raisonnée de la présentation médiatique actuelle
1er juillet 2021 07:16, par Cedric@Laurent 71
Le terme coteaux n’est peut-être pas adapté à mes flancs de montagnes mais si 45° de pentes c’est pas abrupt..
Le seul accès qui existait auparavant c’était un sentier communal caladé. Les pistes dfci qu’ils ont fait avec de gros engins il y a 40 ans leur coutent trop cher à entretenir. En effet je sais qu’il existe beaucoup de régions Françaises et même dans d autre pays ou il subsiste ces aménagements agricoles. Mais il me semble qu’ ici et en France (plutôt dans le sud) le travail a pris une telle ampleur qu il peut servir de preuve au fait que la France a été une puissance agricole hors du commun,sans les machines. Ce qui ne veut pas dire que j’en fait un objectif opportun.
Il est normal que derrière le mot permaculture tu trouves des gens qui ne sont pas de vrais producteurs agricoles. Ne t’en agaces pas ! Chaque catégorie socio professionnelle à son champs lexical.
Cependant mon activité ne se résume pas a débroussailler 500m2 et je pense pouvoir constituer une partie de mes revenus en produisant aussi des semences potagères.
Je comprends ton propos de dire qu a l heure actuelle si tu veux exister il faut produire en quantité et cela ne se fait qu avec les machines et souvent beaucoup d’ acharnement.
Mais bon, si tu pouvais éviter de prendre les autres pour des charlots, des bonimenteurs parce qu ils ne sont pas, comme toi, de longue sur la chaine de production , on aurait pu aborder le sujet de départ et tu nous aurais expliqué pourquoi les méthodes de Bourguignon ne sont pas applicables dans ton fonctionnement.