États-Unis : Big Pharma et le trafic de fœtus
11 août 2021 18:25, par Adolfo Stalini
Sur le plan moral, on peut fort bien considérer l’avortement comme un crime autogéré par la mère essentiellement. Mais ce crime n’est pas punissable en raison de son caractère autocentré qui rappelle le suicide. Une fois le fœtus extrait de l’utérus maternel, ce virus est considéré comme absolument condamné. D’ailleurs, le placer dans un utérus artificiel pour lui permettre de continuer à se développer requerrait l’accord de la mère. Dan la mesure où la mère donne son accord pour un prélèvement d’organes à visée thérapeutique ou scientifique, pas de problème moral selon moi. Du moment que c’est bien expliqué à la mère et qu’elle accepte cet emploi du corps de son enfant pour des fins thérapeutiques ou scientifiques, ça me semble correcte sur le plan moral.