La pornographie, un business d’accoutumance
27 août 2021 08:38, par Temet NosceLe problème de la pornographie n’est plus vraiment la pornographie elle-meme, dorénavant banalisée sinon sacralisée dans nos sociétés, mais plutôt son mode de pensée (post)moderne, axé sur la violence et le mépris d’autrui, qui s’est propagé partout dans la culture occidentale, dans les series, les télérealités, les émissions de télé, etc. et qui contribue à détruire la famille et l’équilibre psychique et affectif des occidentaux de tous les âges et genres imaginables.
Pour comprendre ce changement de paradigme, il suffit de regarder un film pornographique des années 70, avec des gens a peu pres normaux qui font plus l’amour qu’ils ne baisent et ou rarement la femme est traité comme pur objet sans âme ...et comparez ce type de films à ce que vous pouvez voir aujourd’hui en plein après-midi à la télé.
Nos medias sont, au sens propre du terme, plus pornographiques qu’un film adulte des années 70. La grande différence selon moi est la violence et le mépris que les pornographes (QUI sont-ils ???) ont su associer à la sexualité et qui éloignent les âmes des acteurs à mesure qu’ils se rapprochent physiquement : étranglement, bukkake, vomissements, insultes, sodomies, insultes perpetuelles, lechage de c**...Les adolescents finissent par croire que le but des rapports avec les femmes est de traiter celles-ci comme des receptacles, des objets destinés à assouvir une pulsion (et non plus un désir, ni même un besoin), et les adolescentes croient que le rôle de la femme est d’exciter sans arrêt les hommes (et que ce sera la faute de l’homme de toutes façons), de les tromper sans cesse (le mensonge étant la méthode principale de manipulation pour les êtres faibles/médiocres), pensant qu’un onlyfans est signe de réussite sociale et qu’être un objet sexuel est le meilleur des statuts disponibles pour la femme. Apres ni putes ni soumises, le credo feministo-liberal est plutot : putes et soumises (et pour tous les ’’genres’’).