G. Edward Griffin : "Les gens ne doivent pas être autorisés à être indépendants"
19 octobre 2021 08:26, par BayinnaungLe réchauffement climatique, le développement durable ou autres arguties écologiques (car l’écologie est chose sérieuse – et surtout un concept conservateur et traditionnel) vont pouvoir entrer de nouveau en scène et s’immiscer en toute facilité dans des consciences ébranlées, manipulées et fatiguées par de longs mois de crise sanitaire.
C’est ce que certains peuvent espérer, mais bon, j’en doute un peu.
Les mesures anti-terroristes prises dans l’emballement de quelques attentats ont permis de mettre en place un début de système totalitaire, mais on en est pas encore à tirer sur le peuple ou à ouvrir des camps.
Quant aux mesures "anti-COVID" ou plutôt "anti-peuple", il a fallu un battage médiatique inédit dans l’histoire basé sur du vent (quand la grande crise inflationniste sera là : plus personne n’osera parler encore de l’épidémie, surtout si on prend en compte le coût que sa gestion a imposé et son poids dans l’appauvrissement généralisé qui arrive).
Or, ces mesures s’appuient sur du vent : le vaccin est un échec patent (même l’OMS l’admet) et il sera bien compliqué de faire tenir toutes les mesures liberticides anti-covid longtemps dans le temps avec un postulat aussi friable.
Au moins, avec le terrorisme, il n’est pas très difficile de déclencher un attentat sous faux drapeau ou de faire venir des excités directement depuis Daech-land pour relancer la parano.
La pandémie, en revanche, a un fonctionnement beaucoup trop aléatoire pour être géré correctement (elle ne tue quasiment personne, le vaccin nécessite trop de doses et finira donc par être rejeté par le grand public (sauf les vieux boomers qui regardent BFM TV), d’ailleurs la récente disparition de Colin Powell, des suites du COVID alors que le vaccin est sensé être "l’arme miracle" contre la maladie, va lui faire une bien mauvaise publicité, n’en déplaisent au commentateurs sur twitter qui répètent la propagande du gouvernement ("on a jamais dit que le vaccin allait sauver tout le monde...")).
La paranoïa suscitée par l’urgence pandémique ne remonte qu’à 2 ans.
Celle sur le terrorisme est bien plus facile à gérer et à faire tenir dans le temps.
Par contre, l’urgence écologiste, elle, est usée jusqu’à la corde depuis qu’elle a été lancée au début des années 2000.
Vous pouvez lancer un pass sanitaire (non sans opposition) due à l’urgence d’une maladie récente ... mais avec le réchauffement qu’on ne voit toujours pas venir, ça va être compliqué de ne pas heurter du monde.