"Quand j’ai lancé l’alerte sur les Ehpad, Agnès Buzyn n’a pas voulu me recevoir"
11 février 2022 13:03, par les boeufs iront voter
C’est triste comme la mort ces Ehpad : comme les vieux sont surveillés, mis à distance à cause du couillona, pressés par un agenda pire qu’au salariat, ils n’ont pas le temps de tisser contact, de rigoler ensemble... aucune liberté...
Laisser la politique à ces criminels comme Buzyn et voilà ce que ça donne : sur le plan humain zéro, mais maxi bénef pour la Mafia !