Xavier Moreau revient sur l’histoire de la Russie, de l’Ukraine et du conflit en cours
5 avril 2022 15:41, par anonymeMonsieur Moreau,
Vous me fatiguez avec vos mots Nazi, racisme à tout bout de champs. C’est tellement obsessionnel chez vous que je me demande si vous ne les utilisez pas aussi pour une quelconque recette de cuisine. Le racisme en soi n’a rien de péjoratif et fait partie intégrante de la nature humaine et peut-être même un instinct de survie que ce soit biologique ou même culturel. L’idéal de Jules Fery d’aller civilisé les peuples inférieurs est naturellement absurde mais est un tout autre débat qui n’avait pas lieu d’être dans votre exposé en vue de discréditer un peu plus le nazisme. Cela dit en passant nous sommes pas tous au même pied d’égalité. A propos du nazisme. Oui, il est vrai que Hitler avait dit dans mein kampf qu’il voulait s’étendre vers l’est pour son besoin de lebensraum, mais son lebensraum n’incluait forcément pas la Russie mais une grande partie de l’Ukraine. Mais quand il dit ça, il n’était rien d’autre qu’un prisonnier politique qui s’était adapté par la suite à la réalité du moment une fois qu’il était devenu chancelier. Qui n’écrit pas plein de choses ou fantasme sur ce qu’il ferait une fois qu’il gagnerait au lotto ou deviendrait président ? En ce qui concerne "l’opération barbarossa". Cette campagne lui a été imposée quand il eut à faire face aux exigences de Molotov de plus en plus arrogantes et eut vend que les troupes russes se trouvaient déjà aux portes de l’Europe.( Lire à ce sujet The Icebreaker de Surovov. Même Laurent Guyénot en a parlé.) Que Hitler s’était trompé dans son action préventive est compréhensible parce qu’aucune personne censée aurait pu s’imaginer ne pas être soutenu dans sa croisade contre le bolchevisme internationale. On en voit partout les résultats aujourd’hui : multiculturalisme, homosexualisme, féminisme, enfin bref, tous ces trucs qui se terminant en ism.