Ce rapport administratif définitif de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas), publié lundi, « met en lumière des dysfonctionnements graves de l’IHU », et « plusieurs éléments » sont « susceptibles de constituer des délits ou des manquements graves à la réglementation en matière de santé ou de recherche »,
Il convient de rappeler que les inspecteurs de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) sont, à 55 % d’anciens élèves de l’École nationale d’administration (ENA)...
Sont également recrutés d’anciens directeurs de services (caisses de sécurité sociale, administrateurs civils, directeurs généraux et cadres supérieurs d’agence régionale de santé, de DIRECCTE), inspecteurs du travail, médecins inspecteurs, praticiens hospitaliers ou directeurs d’hôpital, militaires, magistrats… ou encore ancienne secrétaire médicale et éphémère ministre de la Santé et de la Prévention...
De jeunes inspecteurs, en mobilité professionnelle pour deux ans, sont aussi régulièrement accueillis : administrateurs de l’Insee, sous-préfets, administrateurs territoriaux de l’INET, administrateurs civils, spécialistes des statistiques, du droit ou de l’actuariat éventuellement...