Le prof de droit et le critique d’art
16 juin 2011 17:11, par Philippe le Bel
En résumé tu décrit et commente deux courants :
Une justice soucieuse de l’ordre avant tout qui veut sauvegarder la société : utile à ceux qui détiennent le pouvoir en somme. C’est ce que je comprends du courant positiviste dans ton texte. Cette justice n’a pas d’autre but que de sauvegarder l’ordre dans l’Etat. Elle fait mine de vouloir aider ou punir avec bienfaisance, mais sa volonté d’ignorer la nature divine de l’homme lui fait rendre des jugements ne visant au mieux qu’à faire s’éveiller la morale chez l’inculpé.
La justice du droit naturel, se préoccupant de la faute de l’incriminé et son malaise. sa coupure avec le divin. Elle est une justice qui vise à aider l’humanité de se sortir de l’esclavage de la bestialité. Ses juges sont des êtres éclairés, avec du coeur, de la sagesse et des connaissances profondes de la nature humaine.
intéressant, mais franchement je trouve ce texte un peu difficile à lire... du coup ce que tu veut dire n’est pas très claire !