De toute façon, c’est déjà pratiqué depuis longtemps, en accord avec les familles, les médecins, les concernés.
Quand on demande aux gens s’ils acceptent l’acharnement thérapeutique ou pas, cela revient à dire que s’ils refusent, on les laisse mourir, soins palliatifs ou on les " aide " .
Ce qui d’ailleurs a été largement pratiqué pour le cov, et là, ça a moins fait de chichis du côté de l’ordre, des medecins et de l’état .
Chacun donne ses dernières volontés et qu’elles soient respectées, au même titre que les dons d’organes. Déjà que l’état empêchent les gens de vivre correctement, qu’il laisse les gens choisir leur fin.
Cette loi a deux côtés : le bon, car elle sort l’acte de l’illégalité et le mauvais, car il peut y avoir des abus. Donc le mieux est de ne pas le faire si la personne n’a pas exprimé clairement son choix avant d’être concernée.
En allant voir une personne à l’hôpital, j’ai entendu sa voisine de chambre gémir, implorer. C’etait une personne très âgée, ça faisait 3 fois qu’on la réanimait, c’était difficile de l’entendre dire qu’elle souffrait et qu’on la laisse mourir tranquille, elle demandait qu’on l’aide à partir. C’était triste et inhumain de la laisser comme ça.
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