Thierry Vincent symbolise bien finalement la convergence pardoxale des intérêts entre les Blacks Blocks et le pouvoir macronien.
Ce qui unit la gauche libérale de Macron, dont fait partie Thierry Vincent, et ces casseurs se résume en une obsession : villipender leurs opposants en les traitant de fascistes, quitte à blesser ou tuer des policiers au passage. Dailleurs, ce dernier, à bout d’argument et de nerf, traite bien entendu Geoffroy Lejeune "d’extrême droite" comme seul argument pour faire accepter les actes de violence.
Quand Macron prend le pouvoir en 2017, il signe immédiatement un chèque en blanc à ces Blacks Blocks en renonçant à Notre Dame des Landes, lieu de concentration unique de ces gauchistes casseurs de flics "sans frontière".
Quand les Gilets Jaunes commencent leurs rassemblements à Paris en 2018, c’est encore ces Blacks Blocks qui sont à la manoeuvre pour tout casser avec des consignes de Castaner aux forces de maintien de l’ordre de ne pas intervenir alors que ce dernier dénonçait la présence de la "droite extrême" parmi les manifestants.