Notre principale ennemi, ce n’est pas Soros, père ou fils.
Mais ceux qui les ont rendus invitables, prospères et victorieux : nous.
Quand nous avons dit, à la suite de la DDH de 1789 : "notre" DDH prouve que Dieu est un con qui ne sert à rien.
Ce jour là , quittant la protection d’En Haut, nous sommes devenus les jouets de ceux d’En Bas.
Une erreur stratégique presque aussi fatale que celle du péché originel de nos premiers parents.
Car, sans notre consentement à "Dieu est un con", Soros et associés n’existeraient même pas.