Excellente mise en exergue de l’apologie du vide revendiquée par le néoféminisme.
Pour ma part je refuse toute interaction humaine susceptible de se transformer en gestion forcée de psychopathologies médiatiquement induites.
Sans toutefois m’arrêter à la couleur des cheveux comme indicateur, j’ai appris à éviter les personnes qui utilisent des qualitatifs comme "de gauche", "féminisme", "masculinité toxique", "racisé", "patriarcat", "cisgenre", "non binaire", "inclusif", "résiliant", "antivax" ou "complotiste", avec un autre objectif que de celui de me faire rire.