Acte 1 : Voici ce qu’une préfecture de police annonçait suite au chant imbécile d’adolescents, dans le métro : « Propos choquants, inadmissibles, indignes : le préfet de police les a signalés par article 40 au @parquetdeparis.Nous ne laisserons rien passer. Tous les moyens d’investigations sont mis en œuvre pour retrouver rapidement les auteurs. »
Acte 2 : Un sioniste de nationalités française, tunisienne, et "surtout israélienne", pour le paraphraser,
Appelle à la décimation des Palestiniens et à l’occupation totale de leur terre,
Insulte et menace de mort Macron, en raison de son absence physique à l’événement,
Éructe sa haine de la France et intime à l’intervieweur de quitter un espace public, injonction délivrée sans droit ni titre.
Un communiqué similaire en provenance de ladite préfecture et des poursuites correctionnelles sont instamment attendus à l’encontre de cet adulte dangereux, qui incarne l’avant-garde de la vulgarité, le paroxysme de l’incitation au meurtre, et l’apex de la dépersonnalisation bestiale.
Les heures qui viennent nous diront si la réactivité de nos autorités s’applique équitablement à tous les citoyens.