Passé du stade de journal satirique à sa création, puis à celui de flagorneur patenté, pour finir par tomber à celui de larbin servile et lâche, dans lequel le directeur de la rédaction n’est pas élu par les journalistes de la rédaction mais uniquement choisi par l’actionnaire, le périple du Figaro n’aura cessé des descendre dans les abîmes du compromis, voire même de la compromission....
La descente abyssale sera due à un certain Serge Dassault - né Bloch... - qui osera dire en 2.004 : "Mon groupe doit posséder un journal ou un hebdomadaire pour y exprimer son opinion.", mais comment s’étonner de son actuelle position ultra sioniste dans une France sous occupa-sion ?!
Quand on sait que sa devise de départ était "Sans liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur" - des paroles de Figaro, d’où son nom - on comprend mieux sa chute vertigineuse sous la direc-sion du groupe Dassault, le vendeur d’armes en cheville avec le Qatar...
Quant au droit de réponse publié sur ce fil, et à sont titre si pertinent, un seul mot : BRAVO à lui, et MERCI à E&R de nous l’avoir fait connaître !!