L’autre jour, je suis repassé tôt le matin, en semaine, chez mon bouilleur, pr récupérer la gnôle faite avec le raisin de ma vigne. Il m’a fait gouter une petite mirabelle délicieuse. On a discuté avec les autres gars et on est partis embaucher. En allant à mon taff de merde, j’étais bien, je n’en avais presque rien à foutre. J’avais une pensée pour tout les anciens, et je comprenais. Vive le terroir, avec une certaine modération. Cultivez et partagez avec les autres, ça soulage de la chienlit.