Que ces femmes soient belles, moins belles,laides ou repoussantes, peu importe
Ce qui me trouble et m’irrite au delà du raisonnable, c’est leur omniprésence
Sur les écrans, les bus, les journaux, dans les conversations, les esprits
C’est une lèpre sournoise qui dévore le peu de temps de cerveau disponible qui reste à nos contemporains
Et ça, c’est impardonnable
Car le cerveau devrait servir à autre chose, aimer ses proches, par exemple, penser à ses fins dernières, ou encore, réfléchir sur son passé
Au lieu de ça, on te le plonge entre les mamelles de la kardachiante, entre les jambons de gouinette pas trop, ou dans la raie culière de chat qui (ri)rat (bien qui rirat la dernière)
Seule solution, s’abstraire de ce monde, jetter sa télé, se désabonner des magazines, retomber amoureux de sa femme, accueillir un petit fils dans le cercle familial (ou une petite fille)