Homme ou mythe, et probablement un peu des 2, Jésus est avant tout l’incarnation d’un concept surpuissant et salvateur.
On constate que ce n’est pas l’Empire Romain qui asservissait le peuple, mais l’élite juive. Car si les juifs faisaient partie de l’Empire, ils ne faisaient pas tous partie de l’élite juive.
Mais tout aussi puissant qu’il fût, l’Empire est dans le rationnel et rend la justice interne au peuple qu’il domine tel que celui-ci veut qu’il rende. Comme tout seigneur, tout simplement.
D’ailleurs cela s’appelle la démocratie.
À travers Pilate, c’est l’Empire Romain qui s’en est lavé les mains de la condamnation de Jésus, car cela ne le concernait pas.
D’ailleurs il ne me semble pas que Jésus ait une seule fois considéré Rome comme son ennemi, contrairement aux marchands du temps et aux langues de vipère.
Donc l’ennemi de la vérité, donc de la lumière, donc de Jésus, n’est pas le glaive mais bien les adorateurs de Mammon qui se servent du commerce pour assouvir leur déviance.
D’ailleurs l’arme de la justice n’est-elle pas le glaive ?
Quoi qu’il en soit, merci à AS pour le partage de sa réflexion.