La fée Belloubet assiste à un cours d’empathie en CP
14 avril 04:19, par en taule
La prof immature dans la première vidéo s’en prend avant tout à la jeune Turque. "Ce n’est pas nécessaire de réagir" lui dit-elle.
Les quatre sournois en profitent aussitôt. L’offense est tolérée donc permise.
Les sournois n’ont à craindre, au pire, de leur victime et de l’autorité qu’un silence méprisant ou craintif. A quatre contre un, ils ont trois fois le pouvoir : par le nombre, l’autorité permissive, la victime silencieuse.
De son côté, la jeune Turque (tête de Turc) n’a pas ce qu’il faut pour se défendre.
1. La prof n’a aucune autorité.
2. Trop enrobée, pas sportive, la jeune élève ne saura pas flanquer une gifle à la récré.
3. Extra-européenne, illettrée, sans réelle base culturelle, elle ne sait pas manier l’ironie, le sarcasme, la riposte, l’humour vache (spécialités françaises) que pourraient craindre ces idiots.
4. Exilée, peu protégée, la jeune Turque ne sait que réagir émotionnellement. L’émotion est la pire des réponses dans les lieux carcéraux (prison...). Et justement, le collège devient semblable à la prison, mais avec un encadrement lâche et mou. Les pires éléments font la loi.