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La fée Belloubet assiste à un cours d’empathie en CP

Avec ça, on va remonter grave au classement Pisa

Ce sont eux qui ont, par leur libéralisme libertaire, déstructuré l’institution scolaire et l’instruction, sapant l’autorité des profs (mal payés) et déconstruit l’intelligence des élèves. Ils ont désarmé les profs et armé les élèves, au sens propre et au sens figuré.

 

 

Aujourd’hui, ils pleurent sur les résultats gravissimes de leur politique maléfique, qui a libéré les démons des enfants. Ils peuvent accuser ces derniers de violences, de harcèlement, d’agressions, d’hyperactivité, de délabrement mental, de tout, mais ce sont eux les coupables.

Ils ont façonné les enfants avec leurs valeurs libérales libertaires : individualisme, concurrence, domination, séduction, triche, libération des bas instincts, guerre de tous contre tous. Et ils ont fait pareil avec les parents, puisque c’est un programme général.

 

 

Ils ont fait tabasser les travailleurs français, ils ont laissé les racailles déglinguer le vivre-ensemble, ils ont fait entrer en France des gens qui haïssent notre pays, ils ont laissé crever les vieux dans les Ehpad, ils ont piqué les gens de force avec un produit cher et dangereux, ils leur ont interdit de sortir et de se réunir, ils leur ont collé un masque sur la gueule comme une muselière à des chiens, ils leur ont menti à travers des médias aux ordres, ils les ont volés avec l’inflation, et maintenant ils veulent les envoyer en guerre contre la Russie.
Ce sont eux les harceleurs, les fauteurs de troubles, les dangers publics.

 

 

Maintenant, place au grotesque. Au milieu de tout ce bordel organisé, Le Figaro a assisté à un cours de gentillesse.

Pendant une vingtaine de minutes, le ministre de l’Éducation nationale Nicole Belloubet a assisté à un cours « d’empathie », vendredi matin, dans une classe de CP à Nice (Alpes-Maritimes). En décembre dernier, son prédécesseur, Gabriel Attal, avait annoncé l’expérimentation de ce cours pour lutter contre le harcèlement scolaire.
Le nouveau ministre a confirmé, malgré le scepticisme et les interrogations autour de cette réforme, sa généralisation à la rentrée prochaine dans le cadre d’un enseignement « à la vie affective » et a précisé que le programme définitif serait finalisé en juin. « Dans une société traversée par des courants de violence et d’irrespect, c’est important de dire que l’école apprend autre chose et vit autrement », a-t-elle défendu.

Cours d’empathie ou propagande sectaire ?

 

Pour info, la « communication non violente » dont parle l’intervenante scolaire, « coach en psychologie positive », qui a probablement été payée pour ça, fonctionne comme une secte qui pénétrerait l’ÉducNat.
La CNV profite de la détresse des parents qui ne savent pas trop comment éduquer leurs enfants dans une société où tout est fait pour les déstructurer. La CNV dispense des cours, payants, et propose de transformer les parents eux-mêmes en intervenants dans un système pyramidal avec échelle de rémunération...

Comme par hasard, en Macronie, ces interventions à l’américaine se multiplient, sur le modèle des « couples » LGBT qui pénètrent dans les petites classes pour enseigner leur sexualité aux enfants.

Belloubet a donc assisté à un de ces cours, et voici sa conclusion :

Ces cours, inspirés de ce qui se fait dans les pays nordiques comme le Danemark, ne sont « pas une perte de temps » au détriment des autres matières comme le français et les mathématiques, a martelé Nicole Belloubet face à certaines critiques. « Les évaluations en classe de 6e montre [sic] que notre pays a progressé depuis 2017, de six points en français et quatre points en maths, je ne peux pas laisser dire que l’école est en échec », a ajouté la locataire de l’hôtel de Rochechouart, même si au classement Pisa, la France a dégringolé. (Le Figaro)

Tout va bien, les enfants sont de plus en plus cons, de plus en plus harcelés ou harceleurs, et on leur inflige des cours d’empathie. C’est une victoire sur toute la ligne.
Ce qui est clair, c’est que la Macronie n’aime pas les enfants. Et quand elle les aime... Non, rien.

Quand Belloubet libérait des djihadistes

 






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68 Commentaires

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  • #3348916
    Le 13 avril à 22:31 par Nunu7789
    La fée Belloubet assiste à un cours d’empathie en CP

    Comme si une bonne éducation etait garante de quoi que ce soit.
    La révolution industrielle n’employait que peu de cerveaux,
    de même que les trentes glorieuses (finalement).

    Aujourd’hui un ordinateur d’entrée de gamme remplace quinze ingénieurs
    d’aéronautique moyens d’il y a 40 ou 50 ans.
    Ou une dizaine de comptables, spécialistes, géomètres ou mathématiciens.

    On ne demandait aucune intelligence particulière spéciale à ces gens,
    Ni intelligence sociale, ni intelligence politique ou créative,
    seulement de faire des comptes ronds.

    Idem pour quantité de "métiers". Il n’y avait d’autre exigence que d’appliquer
    correctement les formules (baptisées apprentissage ou métier).
    Qu’est ce qu’un compagnon, un meilleur ouvrier, sinon celui qui applique
    au mieux les formules ?

    Notre ouvrier élite a-t’il acquis la moindre intelligence sociale ou
    politique au cours de formation d’excellence ? non !
    Pas plus que le militaire d’èlite, le philosophe
    ou que n’importe quelle autre fonction à l’ancienne.
    Ce n’était que l’application d’un apprentissage, de règles.

     

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  • #3348958
    Le 14 avril à 04:00 par L’abbesse du Thaud
    La fée Belloubet assiste à un cours d’empathie en CP

    On ne peut que souscrire aux cours d’empathie de miss Belloubet et admirer son courage à faire partie d’un gouvernement qui en pâtit beaucoup d’en n’avoir aucune pour les plébéiens.
    Car ce Macron, quel manque d’empathie ! (mais comme on vient de le dire ce n’est pas de sa faute car les cours d’empathie et de gentillesse n’existaient pas à son époque).
    Manque d’empathie envers les gilets jaunes, les chômeurs ou les agriculteurs.
    Mais toutefois beaucoup d’empathie pour ceux qui souffrent d’en manquer, par exemple pour Véran reconnu pour son manque d’empathie envers les infirmières non vaccinées.
    Ce n’est hélas qu’en de trop rares occasions que la justice manifeste son empathie et se met à la place du violeur en situation irrégulière en comprenant ses émotions et sa culture du viol avant de le condamner à un stage de citoyenneté empathique.
    Mais on peut compter sur la prochaine génération pour savoir discerner parmi les candidats députés ceux qui ont de l’empathie envers ceux qui sont harcelés et éviter ainsi d’élire des députés comme Meyer Habib qui n’en a strictement aucune pour les gazaouis.
    Pour ma part, je m’efforce d’avoir de l’empathie, par exemple pour Vincent Reynouard, mais quand on apprend l’empathie en autodidacte, ce n’est pas facile car on ne reçoit aucune aide de la CAF ou soutien du gouvernement.

     

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  • #3348965
    Le 14 avril à 04:19 par en taule
    La fée Belloubet assiste à un cours d’empathie en CP

    La prof immature dans la première vidéo s’en prend avant tout à la jeune Turque. "Ce n’est pas nécessaire de réagir" lui dit-elle.
    Les quatre sournois en profitent aussitôt. L’offense est tolérée donc permise.
    Les sournois n’ont à craindre, au pire, de leur victime et de l’autorité qu’un silence méprisant ou craintif. A quatre contre un, ils ont trois fois le pouvoir : par le nombre, l’autorité permissive, la victime silencieuse.
    De son côté, la jeune Turque (tête de Turc) n’a pas ce qu’il faut pour se défendre.
    1. La prof n’a aucune autorité.
    2. Trop enrobée, pas sportive, la jeune élève ne saura pas flanquer une gifle à la récré.
    3. Extra-européenne, illettrée, sans réelle base culturelle, elle ne sait pas manier l’ironie, le sarcasme, la riposte, l’humour vache (spécialités françaises) que pourraient craindre ces idiots.
    4. Exilée, peu protégée, la jeune Turque ne sait que réagir émotionnellement. L’émotion est la pire des réponses dans les lieux carcéraux (prison...). Et justement, le collège devient semblable à la prison, mais avec un encadrement lâche et mou. Les pires éléments font la loi.

     

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    • #3350228
      Le 16 avril à 09:52 par Sedevac
      La fée Belloubet assiste à un cours d’empathie en CP

      La vidéo a été supprimée et on ne voyait pas le début de la scène, mais c’est un cas d’école d’effondrement de l’autorité et d’inversion de la justice : la victime est désignée comme coupable, l’élève qui se fait harceler est sermonnée et punie, mais rien n’est fait contre les coupables... La prof n’a pas les moyens de faire respecter son autorité, d’appliquer la justice et de punir les forts, donc elle s’essuie les pieds sur la justice et sur les faibles. En partant du principe qu’elle ait les moyens intellectuels de discernement, ce qui n’est pas certain...

      Elle essaye de se mettre au niveau des élèves et de les comprendre, ce qui pourrait être excellent si le point précédent était respecté. Il est important de le souligner, car par réaction certains voudraient revenir aux années 50, où l’autorité du prof était certes respectée mais la pédagogie désastreuse (d’inspiration janséniste, une spécialité française depuis la Renaissance, qui engendre des révolutionnaires ou des faux-culs).

      Au delà de la pédagogie, cette vidéo soulève les problèmes :

      - de la mixité scolaire (garçons et filles ensemble) rendue obligatoire en France pour des raisons anti-catholiques (ce n’est toujours pas le cas dans une bonne part des établissements du Japon, ou dans certains établissements d’élite en Angleterre par exemple)
      - de la féminisation de l’enseignement (un professeur femme face à des garçons)

      - du prolongement indéfini des études générales et obligatoires, devenues des garderies pour adolescents attardés, infantilisés et déresponsabilisés.

      Du temps de nos grands parents les études générales ne duraient 4 ou 5 ans (de la 11e ou 10e jusqu’à la 7e), elle ne concernaient généralement que la demi-journée (laissant le reste à la vie familiale), les vacances scolaires étaient plus longues, et le niveau était pourtant bien meilleur. Elles étaient sanctionnées par le certificat d’études, et à leur sortie la majorité des élèves (masculins) entraient dans la vie active ou dans un apprentissage professionnel, au contact des réalités et des responsabilités.
      Arrivés à l’âge de se marier, ils étaient déjà installés dans leur métier avec des années d’expérience, et un pécule, ce qui permet de prendre des responsabilités familiales en temps et en heure, biologiquement parlant, et d’éviter ainsi bien des vices.
      Ceux qui continuaient les études (à partir du collège on parlait d’études supérieures) le faisaient dans un but bien précis et étaient motivés. Les diplômes avaient de la valeur.

       
  • #3349154

    Pauvres gosses...

     

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  • #3349243
    Le 14 avril à 12:25 par Tournevis
    La fée Belloubet assiste à un cours d’empathie en CP

    Elle ressemble à Gérard Darmon après une transition de genre.

     

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  • #3349512

    L’horreur !

    Qu’est ce que c’est que cette grosse institutrice dans la 1ère vidéo !!?
    La promotion de la médiocrité à la française

     

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  • #3349513

    Belloubet...un picasso

     

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  • #3349538
    Le 15 avril à 03:36 par Unécroudanslecrâne
    La fée Belloubet assiste à un cours d’empathie en CP

    Nicole elle a un p’tit air éclipse du soleil, mexicaine télévisée

     

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  • #3350180
    Le 16 avril à 08:25 par Sinabil
    La fée Belloubet assiste à un cours d’empathie en CP

    C’est très pertinent le lien fait entre la CNV et la dérive sectaire, sous couvert "d’apprendre l’empathie". La programmation neuro-linguistique qui sert de support au conditionnement mental opéré sur des enfants (naturellement empathiques) n’a rien à voir avec l’empathie.

    Après la défaite d’Iéna, les Prussiens ont conclu que ce qui avait provoqué leur perte c’était le fait que le système éducatif avait produit des citoyens intellectuellement autonomes, enclins à faire preuve de libre-arbitre, or cela ne fait pas de bons soldats.

    Pour la guerre qui s’annonce sur le terrain industriel, il faudra que le système éducatif fabrique des prolosoldats en supprimant leur libre-arbitre.

    Dans la foulée, Wilhelm Wundt qui dirige à Leipzig l’Institut de psychologie expérimentale travaille sur l’idée que l’être humain n’a pas d’âme et que le cerveau humain est juste une machine vierge programmable à volonté.

    La coïncidence entre l’institutionnalisation de la psychologie en tant que science moderne et celle de l’éducation comme processus de domestication du bétail humain est troublante.

     

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  • #3350543

    Encore un terreau pour les psychologues scolaires, cibler les élèves un peu trop doués et éveillés pour ensuite en faire des enfants à problèmes, des inadaptés décrétés comme tels par un système pervers...

     

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